Québec Productions Corporation
Scénario : George Zuckerman et Michael Lennox
Découpage : Rian James et Leonard Lee
Directeur du dialogue : Henri Letondal
Dialogue additionnel : Gina Kaus, Hugh Kemp et Sydney Banks
Adaptation française : Henri Letondal, René D. Boivin, Jean LaForest et Simon L'Anglais
En primeur : Le concerto de Québec, d'André Mathieu
Musique : Morris C. Davis
Direction musicale et orchestrations : Jean Deslauriers
Au piano : Neil Chotem
Directeur de la photographie : Guy Roe
Photographie : William Steiner
Décorateur : Walter Koessler
Décorateur associé : Jean Damphousse
Chef monteur : Leonard Anderson
Monteurs : Douglas Bagier, Richard J. Jarvis et Jean Boisvert
Assistant opérateur : Charles Quick
Assistant du metteur en scène : Gilbert Mandelik
Ingénieur du son : Edward Fenton
Ce film a été réalisé au Canada dans les studios de Québec Productions Corporation
Nicole Germain est la journaliste Marie Roberts
Jacques Auger est l'avocat Albert Frédéric
Paul Dupuis est le compositeur Michel Lacoste
Mimi D'Estée est Blanche Lacoste, l'épouse de Michel
Henri Letondal est monsieur Durant, le rédacteur en chef du journal dans lequel travaille Marie
Henri Poitras est l'inspecteur de police
Lucie Poitras est l'Hospitalière
Arthur Lefebvre est le cocher qui raconte l'histoire
Armande Lebrun est Renée Brancourt
George Alexander est l'inspecteur de police assistant
Roland Bédard est Jean
Louis-Philippe Hébert est l'hôtelier
Albert Cloutier est l'écrivain
Palmiéri est l'archiviste
Ovila Legaré est le détective
Louis Rolland est le messager
Germaine Lemyre est une pensionnaire
Réjane Desrameaux est Tourière
Blanche Gauthier est la concierge
Teddy Burns-Goulet est le régisseur
Jean Deslauriers est Jean Deslauriers
Guy Dugas est le secrétaire
J. Léo Gagnon est le domestique
Roland d'Amour est un policier
Jean Vézina est l'avocat
Jean Lajeunesse est un reporter
Gordon Jones est un reporter
René Lecavalier est un policier
L'action se situe à Québec, à l'époque contemporaine du film.
Marie Roberts vient de s'installer dans la ville, où elle travaille comme journaliste.
Elle s'intéresse à une affaire ancienne, la mort d'un certain Brancourt qui, selon sa femme aujourd'hui à l'agonie, aurait été assassiné.
Albert Frédéric, célèbre avocat au-dessus de tout soupçon, ne veut surtout pas que ce dossier soit rouvert. Et pour cause : c'est lui qui a tué Brancourt.
Il imagine un plan diabolique pour se débarrasser de Marie la gêneuse.
Il connaît bien Michel Lacoste, compositeur qui n'a pas encore percé et vit dans une certaine gêne.
Michel ne s'entend pas avec son épouse, Blanche. Un soir, d'ailleurs, après s'être disputé avec elle, il se rend, ivre, chez Albert, où il s'endort.
Albert va chez Michel; il y trouve Blanche morte, car elle s'est suicidée.
Le lendemain, Albert fait croire à Michel que c'est lui qui a tué son épouse, et que, d'ailleurs, Michel le lui a avoué la veille. Michel, qui était saoul, ne se souvient de rien, si bien qu'il croit Albert.
L'avocat soumet alors le compositeur à un chantage : le persuadant que, déjà soupçonné, il n'a quasiment aucune chance de s'en sortir et sera condamné pour le meurtre de son épouse, il prétend être le seul à pouvoir le sauver. Il lui évitera une condamnation, à une condition : il doit éliminer Marie.
Michel accepte. Il emmène la jeune femme visiter les chutes de Montmorency, site dangereux où il la jettera du haut des falaises, ce qui passera pour un accident.
On entend un grand cri ...
Le lendemain, le journal annonce que Marie s'est tuée dans un accident près des chutes.
Pourtant, voici qu'elle apparaît à plusieurs reprises aux yeux d'Albert, tel un fantôme (notre extrait) ...

Nicole Germain est la journaliste Marie Roberts
Jacques Auger est l'avocat Albert Frédéric
Paul Dupuis est le compositeur Michel Lacoste
Henri Letondal est monsieur Durant
Henri Poitras est l'inspecteur de police
Arthur Lefebvre est le cocher qui raconte l'histoire
Un autre film québécois avec Lucie Poitras, Jean Lajeunesse, J. Léo Gagnon et Roland d'Amour :
La petite Aurore l'enfant martyre (1952) de Jean Yves Bigras
Un autre film québécois avec Teddy Burns-Goulet :
Les mains nettes (1958) de Claude Jutra
Un autre film de Fedor Ozep :
Gibraltar (1938)
Observations sur le fondu enchaîné dans le cinéma
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