1ère partie : les pyramides constituent un ensemble de prouesses incompatibles avec les théories officielles
Ekwanim productions
En coproduction avec Kerguelen productions, Gérard Fournerie, Félix Altmann productions
Wild Bunch
Image : Martial Barrault, Valentin Caron, Vincent Mathias, Jean-Pierre Vial, Julien Guitard
Son : Eddy Laurent, Frédéric Bobillier, Thomas Guytard, Julien Momenceau
Habillage et effets visuels : Seb Pouillard
Réalisateur son : Shorty
Musique : Jean-Baptiste Sabiani
Scénario : Patrice Pooyard, Jacques Grimault et Olivier Krasker-Rosen, d'après le livre La révélation des pyramides, de Jacques Grimault
Textes de la narration : Patrice Pooyard et Jacques Grimault
Narratrice : Alika Del Sol
Montage : Patrice Pooyard
Assistantes montage : Isabelle Benard, Ida Gonthier, Delphine Cohen Bajraktaraj
Illustrations : Jacques Grimault
La révélation des pyramides se présente comme une enquête et un voyage.
La voix d'une narratrice nous guide dans cette aventure.
On constate d'abord que la grande pyramide de Gizeh, dite pyramide de Khéops, cumule les prouesses : entre autres, le dallage sur lequel elle est édifiée; les dalles de granit qu'il a fallu transporter sur une très longue distance; la résistance aux séismes; l'existence de huit faces et non de quatre, qui produisent un certain effet au moment des équinoxes.
La narratrice comprend qu'il existe un tabou à ne pas toucher : la croyance, fausse, selon laquelle la grande pyramide de Gizeh serait un tombeau, celui du pharaon Khéops.
Le deuxième tabou concerne l'outillage des bâtisseurs : il est inconcevable qu'ils aient bâti la grande pyramide avec les outils que leur prête l'égyptologie officielle.
L'ingénieur Christopher Dunn a étudié les statues géantes de Louxor. Il ne peut pas concevoir qu'elles aient été taillées sans machines.
Notre narratrice évoque alors un chercheur qu'elle qualifie de hors-norme : Jacques Grimault, dont elle ne citera jamais le nom et dont on ne verra jamais le visage. Cet informateur anonyme signale que l'on trouve, dans d'autres régions du globe, des constructions qui présentent des similitudes avec celles d'Egypte.
Le voyage se poursuit donc vers l'île de Pâques.
Là, se trouvent les moaï, statues de 5 à 12 mètres de haut, pesant chacune plusieurs dizaines de tonnes. Comment a-t-on pu les transporter ?
A l'île de Pâques, on trouve également une écriture du genre hiéroglyphique, qui ressemble étrangement à une autre écriture mystérieuse ... au Pakistan !
Nous voici maintenant au Pérou, avec une multitude de sites énigmatiques : pyramides, pierres énormes parfaitement ajustées, momies, géoglyphe connu sous le nom "Chandelier de Paracas", Nazca et ses dessins géants qui ne peuvent être appréciés que vus du ciel.
Des pyramides, nous en trouvons également au Mexique, ainsi qu'en Chine : à Shen-Shi, il y a plusieurs centaines de pyramides en terre et argile.
Or, nous découvrons que plusieurs de ces sites, placés en des endroits fort éloignés de la planète, sont alignés.
Après une brève évocation du site immergé de Yonaguni, au large du Japon, la narratrice s'aperçoit qu'il lui faut revenir à l'Egypte et à Gizeh : c'est là qu'elle trouvera la clé de l'énigme.
Elle évoque alors le pyramidion, espèce de pyramide miniature dont les dimensions ne laissent pas d'intriguer, car elles suggèrent que les Egyptiens connaissaient le mètre, lequel n'aurait pourtant été "découvert" qu'à la fin du 18e siècle de notre ère, si l'on en croit l'Histoire officielle.
Le chercheur qui conseille la narratrice, démontre alors que la grande pyramide de Gizeh est basée sur le nombre d'or (φ, Phi, d'une valeur approximative de 1,618) et le nombre Pi ( π , valant à peu près 3,1416).
Une révélation qui touche au troisième tabou : les connaissances mathématiques des Egyptiens, à peu près inexistantes selon l'égyptologie officielle.
C'est alors que se succèdent des révélations toutes plus stupéfiantes les unes que les autres.
On apprend notamment les rapports entre la grande pyramide de Gizeh et la vitesse de rotation de la Terre ou encore la vitesse de la lumière.
Puis, c'est l'équateur penché : une ligne qui fait le tour de notre planète et relie quantité de sites anciens !
L'informateur anonyme nous signale encore que le Sphinx et l'ensemble du site de Gizeh constituent une horloge astronomique en rapport avec le cycle de précession des équinoxes.
Mais, notre narratrice n'est pas au bout de ses surprises : son enquête s'achève, provisoirement, sur une nouvelle, et terrible, révélation ...