Hédy Sellami présente
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Extraits à venir sur Eclairages



Parmi les films dont nous mettrons des séquences en ligne prochainement :

Miss Mend, de Barnet et Ozep

Les mondes futurs, sur un scénario de HG Wells

Othello, d'Orson Welles

Le chevalier à la rose, de Robert Wiene

The dragon painter, avec Sessue Hayakawa






Covid-19 : tous vos droits. Tome 1 : La vaccination



Le Covid-19 a remis sur le devant de la scène les questions juridiques liées à la vaccination en général.

Le lecteur trouvera dans cet ouvrage les réponses à toutes ces questions, avec la réglementation et la jurisprudence concernant les vaccins contre le Coronavirus, l'hépatite B, la polio, le tétanos, la diphtérie etc.

L'Etat a-t-il le droit de rendre certaines vaccinations obligatoires ? Cela est-il compatible avec la Constitution française, la Convention européenne des droits de l'Homme, ou le respect de la vie privée ?

L'Etat a-t-il le droit d'inciter les gens à se faire vacciner ?

L'Etat peut-il être jugé responsable s'il persiste à imposer une vaccination qui provoque des effets secondaires graves dans un nombre anormalement élevé de cas ?

Quand une vaccination est légalement obligatoire, les rappels sont-ils obligatoires aussi ?

Un arrêté ministériel peut-il définir les contre-indications médicales reconnues pour une vaccination obligatoire ?

Si je ne fais pas administrer à mes enfants les vaccinations obligatoires, puis-je être condamné pénalement ?

Si mes enfants n'ont pas reçu les vaccins légalement obligatoires, a-t-on le droit de les refuser à l'école ou dans une crèche ?

La vaccination de nos enfants mineurs nécessite-t-elle l'autorisation des deux parents ? La règle est-elle la même pour le Covid-19 et pour d'autres maladies ?

Puis-je être déclaré inapte physiquement à une fonction publique si j'ai une contre-indication médicale à une vaccination obligatoire ?

Dans certains cas, peut-on être considéré comme inapte à un emploi si l'on se soustrait à une vaccination facultative ?

Si je refuse de recevoir un vaccin légalement obligatoire dans le cadre de mon travail, mon employeur a-t-il le droit de me licencier ?
La réponse est-elle la même pour tous les vaccins ?

Selon la jurisprudence, ma suspension suite à mon refus de subir le « vaccin Covid » légalement obligatoire, est-elle licite ?

Le passe « vaccinal » respecte-t-il la Convention européenne des droits de l'Homme ?

Si un vaccin légalement obligatoire dans le cadre de mon travail, me cause des dommages, puis-je faire reconnaître ce préjudice comme un accident du travail ?

Si je subis des dommages à cause d'une vaccination non obligatoire, puis-je obtenir des dommages-intérêts ?

Quelle procédure dois-je suivre pour obtenir réparation en cas de dommages vaccinaux ?
Qui est responsable : le professionnel de santé qui m'a vacciné, ou le fabricant du vaccin ?
Dans quels délais dois-je agir ?

Les proches d'une victime de dommages vaccinaux, ont-ils droit à des dommages-intérêts ?

Comment sont calculés les dommages-intérêts en cas de préjudice vaccinal ? La réparation est-elle forfaitaire, ou dépend-elle de chaque cas ?

Comment obtenir un dédommagement si je subis un préjudice à cause de l'une des valences d'un vaccin polyvalent ?

Si j'ai obtenu réparation pour des dommages vaccinaux, mais qu'ensuite, mon préjudice s'aggrave, puis-je demander une indemnisation pour cette aggravation ?

Quels critères les juges utilisent-ils pour décider si un vaccin est bien responsable d'une pathologie ? Faut-il que cette pathologie apparaisse dans un certain délai après l'injection ?

Les vaccins avec adjuvants aluminiques sont-ils autorisés ?

Si j'ai effectué ma « vaccination Covid » , suis-je quand même obligé de me soumettre aux confinements et couvre-feux ?

Dans certains cas, les autorités pourraient-elles infliger des amendes aux personnes n'ayant pas reçu le « vaccin Covid » ?

Les réponses à ces questions et à beaucoup d'autres, avec la législation en vigueur, les dispositions contenues dans la Convention européenne des droits de l'Homme, la Constitution française, le Code de la santé publique, le Code de déontologie médicale, le Code du travail, le Code civil ou le Code pénal, et les principes posés par plus de 270 décisions de la Cour de cassation, de conseils de prud'hommes, du Conseil d'Etat, de Cours administratives d'appel, des juridictions européennes et du Conseil constitutionnel.

En prime : la reproduction intégrale de décisions emblématiques du Conseil constitutionnel, de la Cour européenne des droits de l'Homme, de la Cour de Justice de l'Union Européenne, de la Cour de cassation et du Conseil d'Etat sur la vaccination des enfants, les vaccins polyvalents, le lien de causalité entre une injection et une pathologie, la responsabilité des professionnels de santé, le consentement du patient, l'accord ou non des deux parents pour la vaccination d'un mineur, ou encore les dommages provoqués par une vaccination obligatoire dans le cadre du travail.

Bonus : en intégralité, une Recommandation et trois Résolutions de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe sur les vaccinations et la santé publique.

Une étude complète sur le droit de la vaccination, indispensable pour tous les citoyens, les juristes, les avocats, les conseillers prud'hommes, les salariés soumis à une obligation vaccinale et leurs employeurs, les professionnels de santé, les parents, les victimes d'accidents vaccinaux, ou encore les militants associatifs.


Hédy Sellami n'est pas seulement le créateur d'Eclairages.
Diplômé en droit public et droit international, il a écrit pendant plusieurs années pour la rubrique juridique d'un hebdomadaire, et pour une revue mensuelle traitant de droit social.
Il a également rédigé des dossiers pour une maison d'édition spécialisée en droit du travail, ainsi que des articles juridiques pour un magazine et pour deux sites internet destinés au grand public.

Il connaît bien en particulier les problématiques liées aux libertés, au droit administratif, au droit social, au droit international.




Filmographie

Affiche du film The list of Adrian Messenger (Le dernier de la liste) de John Huston

Deux partitions pour une grève


Стачка (La grève, 1925) d'Eisenstein, peut être visionné en deux copies, avec deux musiques différentes.

L'une (ci-dessus) a été composée récemment par Pierre Jodlowski pour la cinémathèque de Toulouse. L'autre (ci-dessous) est constituée de morceaux signés Chostakovitch pour une restauration soviétique de 1969.

C'est l'occasion de constater à quel point l'accompagnement sonore d'un film muet en modifie la perception.






Pour la diffusion de films muets à la télévision publique



Quoi qu'en disent certains, la connaissance et la publication des films muets restent faibles, fragmentaires.

C'est particulièrement le cas des films français.

Voici qui est tout de même stupéfiant : on ne peut trouver en DVD qu'une infime minorité des oeuvres les plus marquantes signées par les cinéastes les plus célèbres : Gance, Dulac, L'Herbier, Antoine, Epstein (1) ...

Il faut parfois chercher chez des éditeurs étrangers pour dénicher une oeuvre !

Et ne parlons pas des réalisateurs davantage négligés encore : les Roussel, les Kemm, les Lion, les Hervil, les Poirier ...

N'est-il pas pour le moins étrange que ces cinégraphistes soient littéralement interdits d'antenne dans leur propre pays ?

Pour ne citer que ce seul exemple, combien de films signés Baroncelli la télévision française a-t-elle diffusés depuis qu'elle existe ?

Il ne serait pas scandaleux qu'une chaîne publique projette, ne serait-ce qu'une fois par mois, un film français muet.

Cela n'apparaîtrait tout de même pas disproportionné par rapport au nombre de gens intéressés, certes faible.

France 5 diffusant déjà des documentaires, France 3 le Cinéma de minuit, France 2 (irrégulièrement et très tard) le Ciné-club, France 4 pourrait être tenue de respecter ce minimum que l'on serait en droit d'attendre du service public.


(Notre illustration : Monte-Cristo (1929) de Fescourt : le crime dans l'auberge).




(1) ajouté le 29 mai 2014 : Epstein fait maintenant l'objet d'une édition en dvd.

(2) ajouté le 21 septembre 2018 : les programmes changeant constamment, France 5 diffuse actuellement - mais pour combien de temps ? - des classiques le lundi soir. Quant au ciné-club de France 2, il a été supprimé il y a bien longtemps … Cela étant, toujours pas de films muets en vue ... On peut se demander pourquoi la télévision publique ne passerait pas les films muets que l'on peut voir par exemple à la cinémathèque française ou à la Fondation Seydoux/Pathé; peut-être est-ce une question de droits ...


The killers (Les tueurs, 1946) de Robert Siodmak : le début et la fin



Film noir américain.

1 extrait en version française, 1 extrait en version originale et en version française.

The killers reprend la structure de Citizen Kane, d'Orson Welles. Le principe consiste en ce que, après la mort d'un homme, sur lequel on ne sait presque rien, un autre homme décide d'en apprendre davantage et interroge les personnes qui ont côtoyé ou connu le défunt, chaque témoignage amenant un flash-back.

The killers a beaucoup inspiré The Enforcer (La femme à abattre, 1951) de Bretaigne Windust.

A noter que certains membres de l'équipe, notamment Melville Shyer, ont travaillé aussi sur des Sherlock Holmes avec Basil Rathbone.




Universal International

Mark Hellinger Productions, Inc.

The killers, d'Ernest Hemingway

Scénario : Anthony Veiller, d'après une histoire d'Ernest Hemingway

Directeur de la photographie : Woody Bredell

Montage : Arthur Hilton

Direction artistique : Jack Otterson et Martin Obzina

Décors : Russell A. Gausman et E.R. Robinson

Special photography : D.S. Horsley

Ingénieur du son : Bernard B. Brown
Technicien : William Hedgcock

Assistant réalisateur : Melville Shyer

Musique : Miklos Rozsa

Chanson The more I know of love :
Musique : Miklos Rozsa
Paroles : Jack Brooks

Western Electric Recording



Edmond O'Brien est Jim Riordan, l'agent de la compagnie d'assurances
Burt Lancaster est le Suédois, alias Ole Anderson
Albert Dekker est Colfax, le gangster
Ava Gardner est Kitty Collins, qui s'avèrera être l'épouse de Colfax
Phil Brown est Nick Adams, collègue du Suédois au garage
Queenie Smith est Mary Ellen Queenie Daugherty (surnommée Reinette dans la version française), qui empêche le Suédois de se jeter par la fenêtre
Ann Staunton est Stella, la secrétaire de la compagnie d'assurances
Bill Walker est Sam, le cuisinier noir au début du film
Charles McGraw est Al, l'un des deux tueurs à gages
William Conrad est Max, l'autre tueur à gages
Jack Lambert est Dum-Dum, l'un des cambrioleurs qui opèrent avec Colfax
Virginia Christine est Lilly Lubinsky
Sam Levene est le policier Lubinsky, le policier que frappe le Suédois
Vince Barnett est Charleston, compagnon de cellule du Suédois
Charles D. Brown est l'entraîneur du Suédois
Donald MacBride est Kenyon
Le producteur Mark Hellinger figurerait dans le film


L'action commence à Brentwood, petit patelin aux Etats-Unis, à l'époque contemporaine du film.

Deux tueurs à gages entrent dans un restaurant et annoncent leur intention de tuer un certain Anderson, dit Le Suédois.
Nick Adams, qui travaille avec le Suédois dans un garage, court prévenir l'homme chez lui.
Le Suédois reçoit la nouvelle avec fatalisme et ne cherche pas à s'enfuir.
Les tueurs arrivent et le liquident.

Le Suédois a laissé une police d'assurance au nom d'une certaine Mary Ellen.
Un employé de la compagnie d'assurances, Jim Riordan, décide d'enquêter.
Il rencontre plusieurs personnes qui ont connu ou côtoyé le Suédois. Chacune expose un pan de la vie de ce dernier, ce qui donne lieu, à chaque fois, à un flash-back.
L'ensemble de ces flash-back permet de reconstituer toute l'histoire.

Nick raconte d'abord que, quelque temps avant, un automobiliste est venu faire le plein au garage, à la suite de quoi le Suédois est rentré chez lui, invoquant la fatigue. Il semble que les deux hommes se connaissaient peut-être.

Riordan rencontre ensuite Marie Ellen, la dame qui bénéficie de la police d'assurance.
Elle travaillait comme femme de chambre dans un hôtel où logeait le Suédois, quelques années avant. Un soir, elle le trouva dans sa chambre, désespéré, répétant qu'une femme l'avait quitté. Il avait même voulu se jeter par la fenêtre.

Des renseignements glanés par la secrétaire de la compagnie d'assurances, Stella, permettent d'apprendre que le Suédois était d'abord boxeur, mais qu'ensuite, il fit de la prison.

C'est au tour de Lubinsky, policier qui arrêta le Suédois, de parler.
La carrière du Suédois prend fin sur une amère défaite, alors que son poing droit est trop abîmé pour qu'il puisse continuer la boxe.
La femme de Lubinsky, Lilly, qui connaissait aussi le Suédois, dont elle était amoureuse, précise que, quelque temps après avoir abandonné la boxe, le Suédois l'emmena à une soirée.
Là, le Suédois est visiblement tombé sous le charme d'une jeune femme, Kitty Collins.
Lubinsky ajoute que, quelque temps après la réception décrite par Lili, le Suédois a semblé intégré au groupe d'un gangster, un certain Colfax.
Le Suédois paraît alors gagner fort correctement sa vie.
Un soir, dans un restaurant, Lubinsky s'apprête à arrêter Kitty Collins pour le vol d'un bijou qu'elle porte. Le Suédois s'accuse et frappe Lubinsky. Il se sacrifie ainsi délibérément pour Kitty Collins, faisant de la prison à sa place.
Trois années de prison, que Kitty le laisse purger à sa place, sans faire quoi que ce soit pour lui, trois années au cours desquelles elle n'écrit pas une seule fois au Suédois, comme le rapporte maintenant Charleston, qui partageait la cellule de l'ancien boxeur.
Charleston raconte qu'après sa libération, le Suédois a retrouvé la bande à Colfax et qu'il est retombé sous la coupe de Kitty. Il a alors accepté de participer à un cambriolage proposé par Colfax.

Riordan finit par retrouver Colfax et Kitty.
Celle-ci raconte qu'après le cambriolage, elle est allée trouver le Suédois pour lui dire que les autres membres de la bande voulaient ne pas lui donner sa part du butin et étaient en train de se le partager.
Le Suédois est allé surprendre ses complices et a raflé tout le magot pour lui-même ... et Kitty, avec laquelle il pensait vivre. Mais, Kitty est partie deux jours après, avec tout l'argent. C'est ce départ qui a provoqué la tentative de suicide à laquelle a assisté Ellen.

Mais, tout n'a pas été dit à Riordan. Ce n'est que lors d'une ultime confrontation, tragique, que toute la vérité sera dévoilée ...




Edmond O'Brien est Jim Riordan

Un autre film noir avec Edmond O'Brien :

White heat (L'enfer est à lui, 1949) de Raoul Walsh


Burt Lancaster est le Suédois



Ava Gardner est Kitty Collins


Ava Gardner et Burt Lancaster


Albert Dekker est Colfax


Sam Levene est le policier Lubinsky


Sam Levene et Virginia Christine


Virginia Christine et Burt Lancaster


Jack Lambert est Dum-Dum

Un autre film avec Jack Lambert, qui s'inspire beaucoup des Tueurs :

The Enforcer (La femme à abattre, 1951) de Bretaigne Windust

A gauche : Charles McGraw et William Conrad


William Conrad est Max

Un autre film avec William Conrad et Burt Lancaster :

Sorry, wrong number (Raccrochez, c'est une erreur, 1948) d'Anatole Litvak

Queenie Smith est Mary Ellen Queenie Daugherty






Un autre film noir de Robert Siodmak :

The dark mirror (Double énigme, 1946)



Un film qui présente des ressemblances avec The killers :

Vertigo (Sueurs froides, 1958) d'Alfred Hitchcock



Un autre film auquel a contribué Mark Hellinger :

They drive by night (Une femme dangereuse, 1940) de Raoul Walsh



Un autre film dont Woody Bredell a signé la photographie :

Dial M for murder (Le crime était presque parfait, 1954) d'Alfred Hitchcock



Un autre film auquel ont collaboré Jack Otterson, Martin Obzina, Russell A. Gausman, E.R. Robinson, Bernard B. Brown et Melville Shyer :

Dressed to kill (La clef, 1946) de Roy William Neill



Un autre film auquel ont collaboré Bernard B. Brown, William Hedgcock, Russell A. Gausman, E.R. Robinson et Melville Shyer :

The house of fear (La maison de la peur, 1945) de Roy William Neill




Un autre film auquel a collaboré Martin Obzina :

Pursuit to Algiers (Mission à Alger, 1945) de Roy William Neill




D'autres films dont Miklos Rozsa a signé la musique :

Spellbound (La maison du docteur Edwardes, 1945) d'Alfred Hitchcock

Double indemnity (Assurance sur la mort, 1944) de Billy Wilder




Observations sur les génériques des films de cinéma


Observations sur le flash-back dans les films de cinéma





Hédy Sellami

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Image du film Bus stop (1956) de Joshua Logan


Eclairages est, à notre connaissance, le seul support à répertorier un aussi grand nombre de sites consacrés au septième art, qui plus est classés par thèmes, continents, pays, ordre alphabétique.

La page consacrée aux acteurs dont les noms vont de A à M, a été mise à jour le 12 mai 2021.









La banque Nemo, un film d'une brûlante actualité



Réalisé vers 1934, l'opus de Marguerite Viel retrace l'ascension sociale d'un arriviste qui ne recule devant aucune manoeuvre pour parvenir au sommet.

Ce n'est peut-être pas un chef-d'oeuvre, mais il est au moins une scène qu'il faut voir, aujourd'hui en 2013, tant elle paraît d'actualité : le conseil des ministres (notre extrait). A l'époque, cette scène, qui montre ces messieurs sous leur jour véritable, aurait d'ailleurs été censurée, coupée.

Certains prétendront que nous sommes dans la caricature : au contraire, il nous paraît que nous sommes encore au-dessous de la réalité, de notre réalité.

Toute ressemblance avec des personnages et des faits existant aujourd'hui constitue, sans doute, une coïncidence ...

Il n'empêche que l'on croirait entendre parler d'affaires actuelles, récentes, quand, par exemple, le président du Conseil rappelle au ministre des colonies qu'il a concédé des terrains à l'affairiste alors que ses subordonnés le lui avaient déconseillé; ou lorsque la question est posée de savoir comment le banquier véreux peut être en possession de documents qui auraient dû rester entre les mains du même ministre ...

Frappants échos encore avec la situation actuelle quand on rappelle au président du Conseil qu'il a plaidé pour le banquier il y a six mois ...

Aura-t-on la cruauté de remarquer aussi combien est ressemblant ce personnage d'imbécile qui tient à son poste parce qu'il est ministre pour la première fois, et depuis si peu de temps, alors qu'il était député depuis quinze ans ...

Oui, tout cela ressemble horriblement à ce qu'aujourd'hui, nous vivons en pire ...







Quand Kurosawa fait appel à Ravel



Le récit de la femme violentée dans 羅生門 (Rashomon) est accompagné d'une partition inspirée du célèbre Boléro.

Démonstration en images et en musique avec l'extrait du film et le final de l'opus ravélien.













28 de nos 776 extraits de films

Répertoire des films noirs américains



Eclairages met en ligne un répertoire des films noirs américains, classés par compagnie cinématographique et par ordre alphabétique.

Pour chaque film, le générique, le résumé, des photogrammes et un ou plusieurs extraits.

Le répertoire sera progressivement enrichi.












Columbia


International Pictures


Metro Goldwyn Mayer (MGM)


Paramount


RKO


Twentieth Century Fox


Universal


Warner Bros